Faites une suite!

peut importe le nombres de mots rajoutés, faites simplement parler votre imagination!



C'étais une belle matinée d'été, une douce brise balayait la terrasse de pierre. Je profitais de la douceur du temps, étendue sur ma chaise préférée, dans une pose alanguie. Je paressais, n'ayant d'autre envie que de profiter du moment et d'écouter le bruit du vent, des insectes et des oiseaux.
Je laissais la brise soulever, par moments .............

C'étais une belle matinée d'été, une douce brise balayait la terrasse de pierre. Je profitais de la douceur du temps, étendue sur ma chaise préférée, dans une pose alanguie. Je paressais, n'ayant d'autre envie que de profiter du moment et d'écouter le bruit du vent, des insectes et des oiseaux.
Je laissais la brise soulever, par moments, les sous-vêtements séchant sur la corde à linge. Ces légères lingeries voletant mettaient mon coeur en émoi et, aussitôt, je pensais

C'étais une belle matinée d'été, une douce brise balayait la terrasse de pierre. Je profitais de la douceur du temps, étendue sur ma chaise préférée, dans une pose alanguie. Je paressais, n'ayant d'autre envie que de profiter du moment et d'écouter le bruit du vent, des insectes et des oiseaux.
Je laissais la brise soulever, par moments, les sous-vêtements séchant sur la corde à linge. Ces légères lingeries voletant mettaient mon coeur en émoi et, aussitôt, je pensais à la mère Denis qui lavait son linge à genoux au lavoir du

C'étais une belle matinée d'été, une douce brise balayait la terrasse de
pierre. Je profitais de la douceur du temps, étendue sur ma chaise
préférée, dans une pose alanguie. Je paressais, n'ayant d'autre envie
que de profiter du moment et d'écouter le bruit du vent, des insectes et
des oiseaux.
Je laissais la brise soulever, par moments, les
sous-vêtements séchant sur la corde à linge. Ces légères lingeries
voletant mettaient mon coeur en émoi et, aussitôt, je pensais à la mère
Denis qui lavait son linge à genoux au lavoir du village.
La brise ce calma doucement, j’entendis les pas lourd et rapide du.......

C'étais une belle matinée d'été, une douce brise balayait la terrasse de
pierre. Je profitais de la douceur du temps, étendue sur ma chaise
préférée, dans une pose alanguie. Je paressais, n'ayant d'autre envie
que de profiter du moment et d'écouter le bruit du vent, des insectes et
des oiseaux.
Je laissais la brise soulever, par moments, les
sous-vêtements séchant sur la corde à linge. Ces légères lingeries
voletant mettaient mon coeur en émoi et, aussitôt, je pensais à la mère
Denis qui lavait son linge à genoux au lavoir du village.
La brise ce calma doucement, j’entendis les pas lourd et rapide du facteur qui apportait le courrier et mon journal